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IL PARAITRAIT...
9 mars 2013

Il paraîtrait...

- que des chercheurs japonais ont inventé un nouveau type d'alarmes. Ils voulaient pallier à un problème concernant les personnes sourdes que les alarmes incendies sonores ne réveillent évidemment pas. Des solutions existaient, flashs ou vibrations, mais leur efficacité moyenne n’étaient que très moyenne tellement c’était moyennement moyen. Ils ont donc inventé des alarmes, nouvelle génération, qui se montrent particulièrement efficaces. Elles émettent une odeur de wasabi lorsqu'elles sont déclenchées, réveillant en moins de 2 minutes les habitants. On pense parfois, et donc à tort, que tout a été inventé, mais il suffit de trouver un autre usage à des produits existants, par exemple ici et dans cet exemple pris comme exemple. L’extension de fonctions à l’heure où le cumul de mandats fait encore débat serait-elle bien vue ? La capacité d’oubli est grande lorsque le rendement est au rendez-vous. Les politiques semblent parfois l’oublier. On pardonne tout à l’être efficace.

- que certains insectes dont l’espérance de vie est pourtant très faible font tout de même leur migration. Les projets de vie ne se discutent pas. Ils peuvent être incompris, non enviés, éloignés de ce qu’on pense, mais ça ne se discute pas. La libellule globetrotteuse, par exemple, ne vit qu'un mois ou deux mais peut parcourir des milliers de kilomètres en profitant des vents liés aux moussons. La migration peut faire jusqu'à 16 000 km, de l'Inde à l'Afrique orientale. Alors, évidemment, si on s’attache à une libellule, qu’on tombe sous son charme, qu’on a envie de ne jamais la quitter, et que, par ailleurs, on a quelques obligations professionnelles qui empêchent un périple de 16000 kilomètres, il ne nous reste que les yeux pour pleurer la libellule à jamais partie, avec, au-delà des regrets, le bonheur de la savoir heureuse dans les airs. On pardonne tout à l’être opiniâtre.

- qu’il existe une altitude à partir de laquelle la pression est tellement basse, 0.0626 bar pour ceux qui aiment précisément les précisions précises, que l'eau bout à la température du corps humain et par conséquent certains fluides du corps humain également. Cette altitude s’appelle la limite Armstrong, n’ayant à priori rien à voir avec le cycliste, même s’il a aimé jouer avec ses fluides corporels. Elle se situe à environ 19 000 mètres d'altitude. Pour éviter que leurs fluides divers ne bouillent, je leur conseille d’une part de ne pas utiliser le verbe bouillir au subjonctif, il est vraiment moche et irrite le cerveau, et d’autre part les astronautes ou pilotes doivent utiliser une combinaison pressurisée. Le suicide par strip-tease est assez aisé et, reconnaissons-le, aurait l’avantage de la rareté. Ou certains téméraires pourraient aussi oser la tentative de repousser la limite Armstrong, qui sait ? On pardonne tout à l’être audacieux.

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